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Alors que la plupart des grands groupes de luxe, tous secteurs confondus, voient actuellement leur chiffre d’affaires baisser en Chine, la croissance du marché du parfum avoisinerait 14%, pour un montant qui devrait atteindre 5,8 milliards d’euros d’ici 2028, selon le cabinet de conseil américain Frost & Sullivan.
Avec l’acquisition des marques françaises Pier Augé et EviDenS de Beauté et l’ouverture récente de son campus S’Young City, autour de son siège à Changsha, dans la province du Hunan, le groupe chinois S’Young International (水羊股份) affiche ses ambitions.
La culture chinoise a une influence substantielle sur les parfumeurs, qui choisissent des plantes telles que le thé, l’osmanthus et le bambou comme source d’inspiration.
La marque de cosmétiques Proya (珀莱雅) semble évoluer avec aisance dans un marché chinois en pleine mutation.
La vente en libre-service et dans un cadre arty de cosmétiques en petits formats. Tel est le concept de départ de l’enseigne chinoise Harmay (話梅), qui vient de lever 200 millions de dollars de financement auprès d’investisseurs, dont la société américaine de capital-développement General Atlantic.
Des bas-reliefs évoquant de célèbres poèmes ou le folklore traditionnel chinois gravés sur des bâtons de rouge à lèvres, de la poudre compact et des ombres à paupières, des emballages inspirés de l’orfèvrerie des Miao – une minorité ethnique de la province du Guizhou, dans le sud-ouest de la Chine… Depuis sa création à Hangzhou en 2017, la marque de maquillage Florasis (花西子, Huaxizi) puise dans le patrimoine chinois son esthétique et son story telling.
L’apparence des ambassadeurs et influenceurs masculins recrutés par les marques de beauté en Chine leur a valu le surnom par les internautes de xiaoxianrou (小鲜肉), littéralement en anglais ‘little fresh meat’.
Fondée en 2017, la marque chinoise de cosmétiques Perfect Diary vient de clôturer un tour de table de US$ 140 millions auprès notamment d’investisseurs américains. Cette nouvelle levée de fonds valorise la marque, qui s’est épanouie dans l’écosystème numérique chinois, à US$ 4 milliards. La Chine tient-elle enfin sa première marque de beauté d’envergure internationale ?
La différence majeure entre ces deux vélos et les modèles plus classiques est la quasi-absence des éléments qui caractérisent habituellement un vélo électrique. Ainsi, aucune batterie n’est visible, le pédalier semble traditionnel et aucun indicateur ni boîtier de commande n’est présent.
Alliance sino-américaine dans l’automobile : le groupe FAW (中国一汽) a signé un accord de joint-venture avec Silk EV, une société d’ingénierie et de conception automobile américaine peu connue, pour construire la première voiture de sport sous la marque Hongqi, rapporte l’agence de presse Xinhua.
